Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT]
Invité
Sujet: Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT] Mar 11 Fév - 1:25
Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent
★ J'te tire une latte, tu me tires une latte?
Feat
Alan THIBAULT T'es prof? ▬ Oh merde j'te connais!
...
Journée de merde, pensées de merde, temps de merde. Merde quoi. Comment nettoyer tout ça? Une clope! Aaaah! Le paradis. Attendez... c'est pas interdit?
▬ Putain...! Fait chier. Temps de merde, vie de merde!
J'entends la pluie, les gouttes tombant lourdement contre les vitres et les murs de l'établissement. J'ai envie de défoncer un truc, de massacrer n'importe quoi, mais de massacrer. Mes dents sont si serrées qu'elles grincent et ma mâchoire inférieure tremble de rage. Les cours sont finis, je devrais pas flâner, surtout pas lorsque le soleil teinte déjà le ciel d'orange, de jaune et de rouge.
Mes yeux s'accroche à la vitre à laquelle je fais face, mains dans les poches. J'étouffe un juron, fronce encore plus les sourcils et serre mes poings. Il faut que je respire, que je pense à d'autres trucs, plus joyeux, moins chiants.
Espèce de vieux de mes deux. Me condamner ici. Moi, ça ne me fait rien à la base, mais il pousse la mèche beaucoup trop loin, le canon va se déclencher avant même qu'il ne puisse le réaliser. Je le ferai descendre de son piédestal, je lui montrerai que je n'ai pas besoin de son contrôle parental et de tout son bataclan à la con.
Plus le droit de parler à la famille? Et puis quoi encore? Qu'il aille se faire mettre! Voilà!
▬ Fuck, damn it.
Je prends une grande respiration et me dirige vers les escaliers, il faut que je redescende, avant que quelqu'un ne vienne m'avertir. Qu'est-ce que je raconte? Y'a plus personne à cette heure, sauf à la biblio, tout le monde est en bas ou dehors. Un sourire moqueur se dessine sur mes lèvres. J'ai peur? Pff! Sottise.
Au fond, que je me fasse prendre ou non, je m'en contrefiche. Je n'ai pas envie de me coller un autre truc aujourd'hui, c'est tout. En longeant le couloir, sur un coup de tête bien chauffée, je donne un violent coup de pied dans le mur avant de continuer ma route en maugréant.
Arrivé aux escaliers, je descends trois marches puis, la fin d'après-midi dans le dos, je m'assieds sur une marche et farfouille dans mes poches. J'en cache toujours un là, au cas où une envie me prendrait et qu'il faudrait que je trouve un moyen de m'en prendre une.
Je trouve enfin mon paquet de clope et l'extirpe de ma poche toute froissée par les plis de mon pantalon. Je me prends une cigarette, la tient entre mes lèvres et me remets à farfouiller pour mon lighter. Je me tortille afin de m'adosser contre le mur et tends les jambes sur la marche, allumant ma cigarette, me fichant qu'il s'agisse d'un établissement scolaire fermé.
J'ai besoin de fumer, rien que pour évacuer un certain niveau de frustration. Le reste, je l'évacuerai en écoutant Slipknot ou en sortant dehors, sous la pluie, me défouler contre les arbres. Je replie une jambe et y dépose mon bras, tirant une latte en regardant la fenêtre au-dessus des escaliers. La pluie ruissellent, ignorant les problèmes humains. Les nuages gris me rappellent l'humeur de mon vieux.
Ah... s'il avait pu ne jamais voir le jour. Je ne serais pas né en même temps. Ça aurait peut-être été mieux quoi.
▬ Pff... Il faut toujours qu'il vienne rajouter son grain même quand il n'est pas là. Pauvre con. Bah... au moins il n'est pas dans mon dos à m'arracher mes sèches. J'vais me gêner tien.
Je laisse errer mon regard sur le bout de ma clope, avant de le secouer de mon index, afin qu'il tombe sur le sol.
Sujet: Re: Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT] Mar 11 Fév - 9:19
☼ Comme un soudaine élan... de bonté ☼
La dernière sonnerie a déjà retentit. Désespéremment seul, je me demande bien ce que je peux aller faire à une heure pareille. Zoey rentrera tard ce soir à l'appartement : sans elle, je m'ennuie terriblement. Je n'ai pas non plus envie d'aller voir mes très chers collègues. C'est étrange, n'est-ce pas ? Cette pluie incessante me ruine le moral et je cherche quelque chose à faire pour m'occuper. La bibliothèque ? J'y suis interdit de séjour depuis que j'ai... effleuré le sublime fessier de la bibliothécaire. Dommage qu'elle soit si intransigeante. Je monte quand même les escaliers, aillant envie d'aller jusqu'au sommet pour être un peu tranquille. Pas de chance, je croise une collègue. " Alan ! Qu'est-ce que tu fais là à traîner tout seul ? " Sylvie, bien que professeur de sciences, réussit toujours à lire parfaitement mes humeurs. J'ai un peu de mal à paraître courtois aujourd'hui. " Ce n'est rien Sylvie. Juste une longue journée. Va donc retrouver ton mari : il doit t'attendre en bas. " Le problème avec elle, c'est que je n'arrive pas à lui mentir. C'est vraiment une amie très proche. On se connaît depuis la réouverture de Nobilia. " Tu te sens seul ce soir, c'est ça ? " Un peu c'est vrai. Je détourne le regard, comme à chaque fois qu'on réussit à me déchiffrer alors que je n'en ai pas envie. C'est un comble de me sentir seul, moi qui draguait tous les soirs une personne différente durant ma période mondaine. " Je le vois bien que c'est ça. Ton silence en dit long tu sais. " Un pauvre sourire s'affiche sur mes lèvres. Je ne veux même pas lui confirmer. Je me redresse et me dirige vers le prochain escalier pour accéder au deuxième étage. " Ne t'en fais pas pour le vieux loup que je suis. Va vite le retrouver. A demain. " Un clin d'oeil. J'entends son soupir mais je lis aussi le petit sourire qui s'affiche sur ses lèvres rouges. L'amour rend heureux et il est difficile de ne pas profiter de ce bonheur égoïste.
Toujours impeccable dans mes affaires hors de prix, je n'ai pas toujours été aussi irréprochable que maintenant. Mon passé est assez ... fulgureux. Fils de bourgeois, dès qu'on m'a envoyé en pension, j'ai changé du tout au tout passant du petit garçon discret et agréable à l'adolescent rebelle totalement hors de contrôle. J'ai tout fait. Tout. J'aurais pu y passer même. De toutes les addictions auxquelles j'ai goûté, la cigarette est la seule dont je n'ai jamais réussi à me séparer. Et quand en arrivant bientôt au deuxième étage, je sens une bonne odeur de cigarette et que j'entends un élève jurer de tous les noms que son existence est la plus médiocre : je ne peux m'empêcher de me voir à sa place, il y a quelques années déjà. " [...] Pauvre con. Bah... au moins il n'est pas dans mon dos à m'arracher mes sèches. J'vais me gêner tiens. " Cette voix me dit quelque chose. En même temps, j'ai tant d'élèves : ce serait étrange que je ne puisse pas reconnaître cette façon de parler. Un léger sourire sur les lèvres, j'arrive bientôt devant lui.
Assis sur les marches, dans une position vraiment décontracté, ce jeune homme qui doit être dans une de mes classes de terminale fume nonchalamment sur ces escaliers. C'est vrai que l'endroit est désert à cette heure. Il est plutôt malin. Les odeurs montent alors au deuxième étage, on ne peut pas le sentir du premier. Je reste debout et le surplombe de toute ma hauteur. Le silence qui règne alors est assez lourd. Je profite de mon petit effet. Avant d'enfin rompre cette ambiance pesante. " Milo Norrington, terminale B si je ne m'abuse ? " J'ai une très bonne mémoire des noms. Surtout que Milo participe parfois à mon cours : j'apprécie ceux qui s'intéresse à la philosophie. Alors que je garde un air sévère, je suis vraiment en proie au doute... Est-ce que ça vaut vraiment la peine de le punir pour ça ? Je ne suis pas d'humeur. Voyant que la cigarette qu'il fumait s'est éteinte, je me penche lentement vers lui, sortant mon zippo plaqué argent pour la rallumer. Et sans prévenir, je m'éloigne un peu pour m'asseoir sur la même marche que lui, mais du côté opposé. Je sors ma propre cigarette et l'allume. Une première bouffée et je me sens encore mieux. Je me tourne bientôt vers lui, un départ de sourire en coin des lèvres. " Surpris, non ? " Je le vois bien : qui ne le serait pas ? Je suis toujours en train de défendre le réglement et lors de mes cours, j'interdis à tous ses adolescents de commencer la cigarette : pour la simple et bonne raison que moi je n'ai jamais réussi à décrocher.
Une autre bouffée et l'atmosphère se détend encore un peu plus. " Qui est-ce que tu traitais de tous les noms tout à l'heure ? " Par habitude, je ne tutois jamais mes élèves durant les cours. Mais en dehors, je trouve que c'est vraiment trop solennel. J'essaye de ne plus être dans mon rôle de professeur. Seulement ma curiosité est toujours bien présente. Je comprendrais parfaitement qu'il ne veuille pas me le dire. " Je suis simplement curieux. Je me demande comment un élève se retrouve à fumer tout seul après les cours dans un escalier peu fréquenté ? " J'ai déjà eu quelques démonstrations de son langage fleuri et de son mauvais caractère. Je ne suis donc point étonné par sa réaction. S'il s'ouvre à moi, je serais heureux de pouvoir l'aider. Je suis aussi un être humain, avant d'être un professeur. S'il refuse de parler, je lui parlerais de moi. Encore une bouffée et enfin je me sens moins seul.
Invité
Sujet: Re: Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT] Mer 12 Fév - 2:21
Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent
★ J'te tire une latte, tu me tires une latte?
Feat
Alan THIBAULT T'es prof? ▬ Oh merde j'te connais!
...
Journée de merde, pensées de merde, temps de merde. Merde quoi. Comment nettoyer tout ça? Une clope! Aaaah! Le paradis. Attendez... c'est pas interdit?
Parfois, j'essaie d'imaginer la vie sans mon vieux. J'en souris. Parfois, j'essaie d'imaginer la vie ailleurs, j'en souris davantage. Je n'ai pas trouvé d'autres solutions, pour remédier à mon problème d'ordre personnel, que de me rendre accro à un truc, nocif ou non. Je peux au moins penser à autres choses. Malheureusement, ça n'a pas l'air de faire effet cette fois.
J'entends des pas dans les escaliers. Je me retourne, prêt à dégainer mon pire regard, mais je manque m'étouffer ou bien pire, avaler ma sèche, en reconnaissant un des profs les plus réputés de cet endroit. Il est un peu trop tard pour cacher ce que je fais, j'ai la cigarette bien en évidence dans ma bouche et le voilà qui monte jusqu'à ma hauteur... et qui s'arrête pour me regarder, tel un roi sur son piédestal. M. Thibault, meilleur prof de philo que je connaisse, et de français. Accessoirement. Pour moi.
Ben quoi?
Je fronce les sourcils sans retirer ma cigarette, je ne bouge pas d'un coin, tentant de le défier, mais y'a pas grand chose à défier en lui. Tu peux pas vraiment en fait. Je dis rien j'ose pas, je pense c'est tout. Et je hausse un sourcil à l'appel de mon prénom et de mon nom... même de ma classe! Non mais... c'est qui ce type?!
▬ Tch. Fallait vraiment que ça soit vous, hein...
Le bref coup d'œil que je jette à ma cigarette, afin d'éviter son regard pesant, me force à constater que ma clope... ben elle s'est éteinte. Merde. Oubliant le prof quelques instants, je m'apprête à rallumer avec mon lighter quand le sien prends le relais à la place, allumant derechef ma sèche. Là... je ne sais pas quoi dire.
Je le regarde s'asseoir en face de moi, comme s'il s'agissait d'une nouvelle vie extraterrestre, découverte par les Américains. Je l'observe comme un enfant allumer sa propre clope, comme si c'était tout à fait normal que M. Thibault décide de fumer en compagnie d'un élève. Eh bien oui... on se la coule douce, aucun problème...
Je rêve ou quoi?
"Surpris, non ? "
J'ai peine à répondre à sa question:
▬ Euh... Ouais. C'est pas vous le saint des règlements?
Mais au lieu de me répondre (ce qui m'aurait étonné), il se contente de fumer pénard et d'entamer sa seconde question. Celle-ci me renfrogne de nouveau et je tire une énième latte. Il est bizarre ce type, en dehors des cours. Franchement pas pareil. Particulier comme prof...
Je fronce un peu plus les sourcils en le défiant du regard. Comme si ça pouvait intéresser un professeur, la vie pourrie d'un élève. Je n'ai jamais vraiment considéré mes profs autrement qu'en tant que profs. Même ceux que j'affectionne plus. Je vois pas pourquoi ça devrait être différent. Quoique j'ai besoin d'une façon de défouler.
Les paroles sont salvatrices... Soit, on essaie et après, on ira se plaindre à celui qui prononça ces mots le premier. Je reprends une bouffée, faisant comme si rien n'était, comme si M. Thibault était plus ou moins présent.
▬ J'maudissais mon fucking vieux. Pourquoi? Ça vous intéresse peut-être? J'vois pas d'raisons à ça. J'suis dans ce coin parce que je le voulais. J'ai besoin d'extérioriser seul quoi. Putain. La cigarette, ça fait du bien, rien à foutre de la prévention. J'aurai qu'à mourir d'un cancer des poumons.
Une autre bouffée. Puis enfin le plus intriguant.
▬ Et vous? J'peux savoir ce que le saint des règlements fiche ici également? À fumer normalement avec un élève au lieu de lui donner une colle? Vous n'êtes pas bien aujourd'hui?
C'est peut-être impoli ou trop aventureux, mais on pose, on sait jamais. Peut-être que comme par miracle, il répondra. C'est assez bizarre, faire semblant d'être familier avec un prof, surtout qu'à l'habitude, je les fais chier. C'est plus facile quoi. Puis c'est moins hypocrite que de dire constamment: «Oui monsieur.» «Oui madame.»
Sujet: Re: Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT] Mer 12 Fév - 9:56
Le malheur n'est pas une question de génération
Cet élève n'a effectivement pas sa langue dans sa poche. Son langage fleurit me fait sourire. C'est étrange de se confronter à un adolescent qui semble avoir eu les mêmes problèmes que nous. Je suis sûr que j'aurais été aussi surpris qu'un professeur vienne me "taper la discute" dans un moment pareil. Mais je suis bien ici, j'ai l'impression d'avoir dix ans de moins. Étonnement, il répond à ma question. J'écoute très attentivement ce qu'il a bien envie de me dire. " J'maudissais mon fucking vieux. Pourquoi ? Ça vous intéresse peut-être ? J'vois pas d'raisons à ça. J'suis dans ce coin parce que je le voulais. J'ai besoin d'extérioriser seul quoi. Putain. La cigarette, ça fait du bien, rien à foutre de la prévention. J'aurai qu'à mourir d'un cancer des poumons. " Sa désinvolture me fait rire. Effectivement, je ne suis pas déçu par sa tirade de l'adolescent pommé. Classique en quelque sorte, mais c'est assez intéressant de voir que le même phénomène se répète aux mêmes âges indéfiniment. J'ignore ses provocations et répond d'un air un peu évasif. " Ton vieux hein ? Je me disais la même chose quand j'ai commencé à fumer. " Une autre bouffée, mon sourire ne me quittant plus. Oui, c'est vraiment une situation très intéressante.
" Et vous ? J'peux savoir ce que le saint des règlements fiche ici également ? À fumer normalement avec un élève au lieu de lui donner une colle ? Vous n'êtes pas bien aujourd'hui ? " Un autre rire m'échappe, je reprends encore une bouffée avant de lui répondre en me tournant vers lui, reprenant un ton un peu plus sérieux. " Comme quoi, il ne faut jamais s'arrêter à l'apparence de quelqu'un. Je dois donner l'exemple : c'est mon métier. Mais dès que la sonnerie retentit, je peux redevenir moi-même. " J'arrive au bout de ma première cigarette. Je sors mon cendrier portatif de ma sacoche et le laisse ouvert entre nous. En jouant avec le silence, j'en allume une autre avant de reprendre mon discours. " Une heure de colle ne te fera jamais arrêté de fumer. Aucune de mes paroles ne pourraient t'en convaincre. Alors, je ne vois aucun intérêt de te punir pour ça. " Un petit sourire et j'en viens enfin à la fin de son interrogation : ma raison d'être ici. Je suis très méthodique dans mon discours : même lorsque je parle en dehors de mes cours. Pour faire passer une idée précise, je l'organise pour que le message passe de la meilleur façon possible.
" Je suis là parce que j'en ai envie. La raison est qu'effectivement, je ne me sens pas dans mon meilleur état ce soir. Contrairement à toi, je déteste la solitude. Je me suis bien trop isolé quand j'avais ton âge. Rester seul et ressasser le passé ne m'a jamais rien apporté. Mais ça, tu le comprendras en vieillissant. " Saint des règlements, donneur de leçon, moraliste... beaucoup de surnoms péjoratif de ce genre me sont donné mais je les mérite parfaitement. C'est ce que je suis. Je pense que la jeunesse manque de limite et de morale. C'est ma manière à moi, de donner des conseils qui se révèlent souvent utile. Voyant que lui aussi a fini sa cigarette, je sors mon paquet et l'ouvre devant lui. " Tu veux goûter aux miennes ? " C'est très personnel d'agir ainsi. Mais je veux voir sa réaction. On a pas tous les jours l'occasion de goûter à des cigarettes si chères lorsqu'on est étudiant. Ce sera la curiosité ou la méfiance qui l'emportera.
Le grand homme public que je suis, regorge généralement de conversation, à sortir partout, pour ne jamais qu'un silence pesant s'installe dans une conversation. Mais je vous l'ai déjà dit : je ne suis pas d'humeur. Alors j'entretiens ce silence en perdant un peu mon sourire. Je me demande si Zoey est encore partie retrouver ce professeur d'anglais vulgaire. Mes pensées se font un peu plus noir, sans que j'en comprenne la raison. La conversation m'échappe un instant, avant que je ne me reprenne. " Qu'as-tu dit ? Je me suis perdu un instant dans mes pensées. " Je sens que mon manque qu'intérêt l'énerve. Je retrouve un air un peu plus enjoué. " Si tu m'en dis plus sur ce que tu reproches à ton vieux, la philosophie pourrait peut-être nous aider à trouver une solution ? " Quoi que je dise, quand je suis en présence d'un de mes élèves, le professeur reprend toujours le dessus. Je sens que décidément, j'ai bien fait de monter jusqu'au deuxième étage ce soir.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT]
Pause sèche pour tout fumeurs qui se respectent [Alan THIBAULT]