Après une journée mouvementée pour les neurones, je me suis dit qu’il fallait que je dépense aussi mon corps. Savoir qu’il restait assis sur la chaise à rien faire de la journée ne lui plaisait pas. Donc j’ai décidé de me remettre au Tennis après un mois d’abstinence. Je me change donc dans les vestiaires avant de rejoindre le terrain. J’adore vraiment cette école elle a tout ce qu’il fait pour garder la forme. Seule la fainéantise des humains joue un rôle dans l’activité.

Après plusieurs jours de pluie le soleil nous donnait rendez-vous cet après-midi. Je me mis une mini-jupe comme toute joueuse de Tennis. Même si j’aimais compris pourquoi les filles doivent être en jupes. Je m’attachai les cheveux avant de mettre un T-Shirt. Je sortis du vestiaire et me dirigea vers le terrain. Personne ne jouais dehors c’était bien dommage. Je devais donc jouer seul. Je commençai d’abord à courir pour échauffer mon corps avant de passer à l’attaque. Après avoir fini l’échauffement je m’étirais dans tous les sens pour que je me casse aucun de mes muscles. Après avoir fini tous ces travaux, je pris la balle et la jeta contre le mur. Ce n’était pas très pratique pour garder la forme mais cela me permettait de me dépenser un peu.

Au bout d’une heure je dus m’arrêté j’avais soif donc je bus dans ma bouteille, je bus quelques gorgé assis sur le banc. Je poussai un petit soupire de plaisir cela faisait du bien ce petit sport. Je me levais et aperçu quelqu’un qui avançait vers moi. Cool j’avais peut-être un adversaire qui venait.

Je suis:

Je devais la retrouver d’après Père, il était impératif pour son contrat que je suis ami-ami avec la fille de son partenaire. Elle est duchesse, deux niveaux au-dessus de moi, je déteste cela et elle va me le payer. Je vais tout faire pour qu’elle soit amoureuse de moi, franchement qui pourrais résister à un Riclote ? Personne même pas elle.

Je retournai à son dortoir, personne ne l’avais vu. Pourtant j’avais demandé à ces collègue de chambres mais personne n’a pu me répondre, je commence déjà à la détesté. Une fille que je ne connaissais pas arrive vers moi. Elle était petite, plus petite que moi et elle était là devant moi, elle ne faisait rien et cela m’énervait plus que tout. « Qu’est-ce que tu veux ? » Elle me regarda longtemps avant de répondre « Je sais où se trouve Juliette », j’attendais qu’elle parle mais elle ne voulait rien dire je m’énervais encore plus « Parle » dis-je avec une voix assez froide. Je n’avais pas que cela à faire et ce n’est pas une gamine qui me le fera perdre. « Tu lui veux quoi ? » Je n’avais pas vraiment envie d’attendre je la pris par le cou et la poussa contre le mur. « Parle » La jeune fille trembla elle me regarda avec de la peur mais je voyais bien qu’elle avait abandonné la révolte, elle avait trop la trouille. « Elle se trouve au terrain de Tennis »

J’avais oublié qu’elle aimait le tennis, sans plus de cérémonie je lâchai la gamine et partis vers le gymnase. Je l’entendis un peu tousser mais je m’en fichais complètement. Cette Juliette, elle sera à moi. Pas que je sois amoureux mais elle doit être à moi car de un, elle est duchesse ce qui pourrait m’aider à obtenir des faveurs mais en plus, si elle était jolie, je pourrais me la faire.

Arrivé prêt du terrain je voyais une forme assis sur le banc, je me dirigeais donc vers cette forme. Comme c’était la seul personne ici, elle devait être la fameuse Juliette ? Cette fille puait l’innocence cela allait être facile, en plus elle était plutôt mignonne, surtout avec sa mini-jupe.

« Juliette ARMAND ? Je m’appelle Aurélien RICLOTE. Nos pères sont partenaires et j’aimerais devenir ami avec toi. » Je lui pris le poignet « Allez vient on va faire connaissance autre part je déteste le sport. » Je voulais l’emmener dans ma chambre, elle sera la plus heureuse de recevoir mes faveurs. Je me dirigeai vers les vestiaires pour que la jeune fille s’habille avec la fille qui se débattait.  Mais je m’en fichai, je savais qu’elle voulait être avec moi et qu’elle faisait semblant. Il ne restait plus que cinq mètre avant que je me fasse bousculer par quelqu’un. « Tu ne peux pas faire attention »

Le gymnase, y'a rien de mieux pour se défouler. J'y traîne souvent en ce moment. En dehors des cours, il n'y a pas beaucoup de monde : les autres nobles n'aiment pas trop suer apparemment. En tout cas, quand je viens, je peux me passer les nerfs sur les sacs de sable, avec mes propres gants de boxe importés de Russie. J'ai tellement cogné avec que  si le sac de sable était vivant, ils auraient depuis longtemps cracher... toutes ses dents... mais j'en avais besoin pour me défouler, voilà tout. Déjà quelques semaines que je n'ai pas pu essuyer quelques bagarres, je suis un peu triste de devoir me cantonner à ce genre d'exercice. Ce n'est pas que j'apprécie spécialement le fait de provoquer les autres : mais j'aime montrer que je suis le meilleur. Y'a pas de trop de mal à ça ? Si ? M'enfin, il suffirait que je boive un peu de ma précieuse vodka pour que je me mettes à provoquer tout le monde dans le seul but de leur péter la gu**le... J'aimerais éviter ce carnage. Mais si je me sens vraiment mal, ce ne serait pas la première fois que je le fais, et croyez-moi, ce n'est pas beau à voir.

Il y avait un beau soleil, alors au lieu de lire, j'avais eu envie de sortir un peu. Mais comme beaucoup de gens semblait avec eu la même idée, je me suis réfugié au gymnase pour être un peu peinard. Ça fait bien une bonne heure que je règle le compte de ce sac de sable et je commencerais un peu à m'en lasser. Je suis en débardeur noir, avec un jogging assortie et j'ai troqué mes chaussures de ville en cuir pour mes bonnes vieilles baskets de marque... noir. Je n'ai pas fait très originale aujourd'hui, mais tant pis. Mon pendentif en forme de croix suit mes mouvements lorsque je sautille sur place avant d'enchaîner les coups dans le sac. En repensant à une certaine marquise, je me mets à crier et taper plus fort. Lorsque je l'imagine dans les bras d'un certain toutou, je lance des coups de genoux et hurle mes envies de meurtres. Je pense que j'ai réussi un peu à me vider de ça aujourd'hui. C'est bien. Avec un peu de chance, je pourrais fermer l’œil ce soir.

Totalement en sueur, je prends ma serviette et la met autour de ma nuque, histoire d'éponger un peu toute l'eau que je viens de perdre. Je serais bien d'attaque pour un deuxième tour mais il fait sacrément chaud dans c'te salle. Je m'apprête donc à sortir, prendre un peu l'air, lorsque je percute quelqu'un, proche des vestiaires. J'avais vraiment la tête ailleurs. C'est une voix grave et menaçante qui m'a fait reprendre conscience de la réalité. " Tu ne peux pas faire attention. " Si c'est quelqu'un d'un peu aimable, j'aurais articulé vaguement quelques mots d'excuses avant de passer mon chemin. Mais là, c'est bien du mépris que je peux lire dans le regard de ce mec que j'ai jamais vu. Je fronce les sourcils. Il a vraiment cru que le vicomte Vadim Miloslav allait s'excuser ? " Bouge de là, j'peux pas passer. " Attendez, deux secondes. Il y a une fille avec lui ? Il la tient fermement par le poignet et elle n'a pas l'air au mieux.

En y regardant d'un peu plus près, ses grands yeux bleus me disent quelque chose... Même si elle est carrément pas habillé de la même manière, je reconnais cette façon de parler hautaine et ses sourcils froncés. " Juliette ?! C'est toi ? " Voyant qu'il l'empêche de parler, je lui fous ma main sur la bouche. " On t'a pas causé toi. Tu le connais ce type ? " S'il y a bien une chose qui m'énerve plus qu'un con*ard : c'est un con*ard qui ne respecte pas les plus faibles que lui. Vu la taille et la carrure de Juliette, je doute qu'elle soit là de son plein gré. Elle n'a qu'à dire un mot et je la libérerais de ce gros lourd, excentrique et pervers. Et croyez-moi, des gros lourds, j'en ai maté des plus grands que lui.

Je regardais le jeune homme qui me racontais sa vie, intéressant de savoir que son père était partenaire de mon père. Franchement comme je m’en fichais. En plus pourquoi il parlait de cela ? Je m’en fiche de ce qui est en-dehors de Nobilia. Je voulu être polis j’allais ouvrir la bouche mais il m’empêcha me prenant le poignet et en me tirant vers le gymnase. D’abord étonner de cet approche si direct, j’essayais ensuite de ma défendre « Lâchez moi » Purée, j’avais un fin poignet et sa main me faisait mal. À ce moment je repensai à Vadim, tous les garçons sont-ils obliger de me tenir le poignet ? « Allez vient on va faire connaissance autre part je déteste le sport. » Mais moi je ne déteste pas le sport en plus pourquoi il ne m’écoute pas ? Quand je dis lâchez moi, c’est lâchez moi. Les garçons sont tous-t-il bêtes pour ne pas comprendre le français ?

Nous sommes rentrée dans le gymnase, je voyais qu’il m’emmenait vers les vestiaires, ça c’était une merveilleuse idée. Je ne me souvenais plus de la taille des vitres mais est-ce que je pourrais m’enfuir grâce à elles. Si oui je retournerai à mon pour reprendre mes affaires. J’espère qu’il n’entrera pas dans les vestiaires des filles pour m’espionner et voir ce que je fais.

J’arrêtai mes pensé quand j’entendis la voie accepte de cet homme qui me tenais le poignet et devant moi ce trouvai le grand Vadim qui était plus petit que le garçon. Il était magnifique recouvert de sueur. On pouvait voir ces muscles bien dessiné sur ce corps. Je n’avais jamais vu un corps aussi beau. Mais qu’es ce que je disais, il fallait que je me reprenne. " Juliette ?! C'est toi ? " A tient il m’a reconnu, j’allais lui répliquer quelque chose quand Aurélien, si je me souviens bien de son nom, m’empêcha de parler. A ce garçon, qu’est ce qui me prend de ne pas le frapper, je dirais la courtoisie et la politesse dont mon père m’a donné. " On t'a pas causé toi. Tu le connais ce type ? " Je regardai Vadim dans les yeux, je n’avais jamais vu ce détaille. La dernière fois que je me souviens, il n’avait pas cette tête, une tête effrayante mais mignonne. « Il m’a accosté il y a cinq minutes pour me dire que mon père et son père était partenaire et que on devait plus se connaitre. »

J’essayais de lui faire lâcher mon poignet à cet Aurélien mais plus je me défendais et plus il serrait. Cela commençait à me faire mal. Je tirais mais cela ne marchais pas, je suis sûr que j’aurais un bleu ce soir. Faut que je me passe de la pommade. « Bon, tu vas me lâcher » dis-je en m’énervant et en me positionnant devant Aurélien pour lui faire comprendre que je ne rigolais plus. J’en avais plus que marre surtout que je passais pour une faible devant Vadim. Je n'en avais pas envie même si le garçon me faisait à présent mal.

Je suis:

" Bouge de là, j'peux pas passer. " Qui sait ce pauvre type pour oser me répondre ça ? Je sers les dents. C'est à lui de s'excuser, bordel ! On ne se place pas impunément sur le chemin d'Aurélien RICLOTE ! Je vais lui apprendre les bonnes manières moi ! " Juliette ?! C'est toi ? " En plus il connaît l'héritière du duc ARMAND ? Merde. J'espère que c'est pas son petit copain sinon je suis mal. Dans le doute, je plaque ma main sur la bouche de la petite Juliette. Elle n'a pas à se mêler de nos affaire. " Bien sûr qu'elle me connait- " C'est lui qui me plaque sa main contre la bouche, assez violemment pour me faire reculer et libérer la parole de ma proie. Mais il est fou !  " On t'a pas causé toi. Tu le connais ce type ? " Je vais le tuer. Je sais pas quand ni comment, mais j'vais le tuer : c'est clair ! Sans la lâcher, je regarde ailleurs, cherchant un moyen de me sortir de là pendant qu'ils discutent.

" Il m’a accosté il y a cinq minutes pour me dire que mon père et son père était partenaire et que on devait plus se connaitre. " Je la fusille du regard. Pourquoi ne joue-t-elle pas le jeu ? Après tout, elle est déjà folle de moi donc je ne comprends pas sa méthode. Dans tous les cas, ça ne me plaît pas. Mais pas du tout. " Bon, tu vas me lâcher. " Voyant que le taré blond va s'en prendre à moi si je ne la lâche pas, je desserre ma main et la laisse libre de ses mouvements, juste un instant. Autant faire profil bas, il m'a l'air dangereux ce type. " Tu vois, je t'ai lâché. Va te changer, je reste ici. " Un peu directif, je vous l'accorde, mais c'est comme ça que ça fonctionne chez les RICLOTE. Je reste devant le mec en sueur qui ne semble pas d'humeur à coopérer. Heureusement, je suis plus grand que lui. Je vais me renseigner un peu pendant qu'elle se change. " T'es qui pour elle au juste ? " Il n'a pas l'air de très bonne humeur. Mais si cette fille n'est rien pour lui, pourquoi il me répond pas correctement au juste ? M'enfin, ce n'est pas son petit copain, ça me rassure un peu. J'vais pouvoir me la faire alors. Cette idée me réjouit. " Mon père veut qu'on soit ami. Mais je sais pas trop faire ça moi. T'as vu comment elle est trop bonne dans sa mini-jupe ? J'me la ferais bien. " On sait jamais, on pourrait peut-être bien s'entendre et il m'aiderait ? Après tout, faire un coup à deux j'ai jamais fait. Ça pourrait p'têt être sympa ? " Tu veux pas me donner un coup de main par hasard ? " Le travail serait plus vite fait, sans aucune doute. Surtout qu'il a l'air plus costaud que moi et si elle l'aime bien, elle serait en confiance comme ça. Décidément, ce projet va peut-être être plus vite plier que prévu finalement ?

" Tu vois, je t'ai lâché. Va te changer, je reste ici. " La trace qu'on peut déjà voir sur le poignet de Juliette est suspecte. Nous voilà seuls tous les deux. Il ne m'inspire vraiment rien qui vaille. Dans le doute, mes poings sont déjà près. Il regarde ailleurs, puis se concentre sur moi, m'empêchant toujours de passer, à cause de sa carrure plus imposante que la mienne. Raah, je suis grand mais pas encore assez apparemment. J'aime pas son regard lorsqu'il la suit des yeux. Non, y'a rien à faire. Il est trop louche ce mec. " Tu te sens vraiment obligé de lui donner des ordres ? " Je n'ai plus envie de prendre l'air. Je veux savoir ce qui se passe entre elle et lui. Il m'interrompt froidement. " T'es qui pour elle au juste ? " Je ne sais pas vraiment pourquoi mais cette question ranime dans mes souvenirs le baiser qu'elle a déposé sur ma joue la première fois que nous nous sommes croisés. J'essaye de faire abstraction en répondant : " Personne. J'l'ai juste croisé une fois. Et toi alors ? " Un petit sourire vint lui fendre le visage. Je n'aime pas vraiment la lueur que je peux lire dans ses yeux avides et glauques. "  Mon père veut qu'on soit ami. Mais je sais pas trop faire ça moi. T'as vu comment elle est trop bonne dans sa mini-jupe ? J'me la ferais bien. "

Irrécupérable. Nan mais vraiment. Il faut qu'il aille se faire soigner là. Le pire, c'est qu'il insiste. " Tu veux pas me donner un coup de main par hasard ? " Ma réponse est claire, nette et précise. Je lui fous mon poing dans sa belle petite figure. Goûter à mon crocher du droit est une expérience que beaucoup de mec préfèrerait oublier. " Mais ça va pas ! T'es complétement c*n ma parole ! " Bien sûr, ce coup-là ne suffira pas. Je me tiens en garde, m'écartant un peu du colosse qui n'a plus vraiment envie de plaisanter. " Jamais je ne ferais une chose pareille ! Tu n'es qu'un p*tain d'obsédé de me*de ! " La bagarre peut commencer et j'essaye d'être le plus rapide mais il réussit quand même à m'avoir. Bon sang ! Pourquoi je viens de me vider de mon énergie aussi inutilement ! Un bon coup de genoux et je me libère continuant de l'énerver en cadence, histoire de l'éloigner au maximum du vestiaire où Juliette est en train de se changer. " Crevard ! Tu obéis à ton papa comme un gentil petit toutou ? Ben c'est vraiment moche d'entendre ça. " Moi qui déteste mon père, s'il me demandait une chose pareille, il pourrait bien aller se faire mettre. Et je reste poli.

Il s'écroule sur moi, m'empêchant de réagir. Mes muscles tremblent, je suis en train d'atteindre mes limites. En plus son pif saigne sur mes vêtements c'est carrément horrible de plus pouvoir bouger face à un adversaire pareil. Il n'a pas l'air de vouloir me laisser partir. " Les enfo*rés dans ton genre, ne devrait pas... exister. " Je ne peux plus respirer. Qu'est-ce qu'il fait ? J'ai perdu ? Je perds peu à peu conscience, essayant de me libérer de son étreinte. Serais-je, pour une fois, tombé sur plus coriace que moi ? C'est bien ma veine. Tant pis, c'est ma dernière alternative. Un bon grand coup dans les valseuses et je peux de nouveau respirer. Il m'a lâché, mais je suis incapable de la prévenir de quoi que ce soit. Non ! Il ne faut pas qu'elle le croit ! Ni qu'elle le suive ! A tous les coups, il a trouvé une excuse de me*de pour me faire passer pour le méchant. Je vais rester un petit peu allongé par terre pour le moment. C'est frais et ça me fait du bien. J'espère que je n'ai pas de côtes de casser. Parce que c'est vraiment le plus chiant à remettre à sa place comme truc.

" Tu vois, je t'ai lâché. Va te changer, je reste ici. " Non mais comment il me parle, je le regardai avec fureur puis je me dirigeai vers les vestiaires. J’examinai en même temps mon poignet, il avait les traces de ces mains et un bleu commença à faire son apparition. Je me demande comment j’allais cacher cela, une petite pommade devra faire l’affaire. Je fouillai dans mes affaires, puis je pris le pot que j’avais toujours sur moi si je me faisais mal au tennis. Je me dirigeai vers la porte pour entendre ce qu’il disait. "Personne. J'l'ai juste croisé une fois. Et toi alors ? " Alors là ça fait mal, je suis devenu en un instant triste. Mais m*rde quoi, je ne comprenais pas ce qu’il m’arriva. Pourquoi serais-je triste ? Il ne disait que la vérité.

Je retournai vers mon sac, et je me mis un peu de pommade, la blessure ne e faisait pas mal mais quand même c’était délicat. Je regardai aussi les vitres, c’était sur je ne pouvais pas passer, elles étaient en fin rectangle, accrocher vers le haut. Je rangeai la pommade dans le sac, puis je me dirigeai vers la porte. Je l’ouvris un peu pour voir qu’es ce que les garçons faisaient. Il n’était plus à coté mais éloigner du vestiaire. Il se bagarra, quand je vis Vadim au sol écrabouillé par Aurélien je sorti du vestiaire pour me diriger vers eux. « Arrêtez » Personne m’écouta, Vadim donna un sacré coup à Aurélien qui s’éloigna. Quelques minutes après Aurélien se leva et se dirigea vers Vadim, j’arrivais juste à temps pour l’arrêté « Arrête, tu vas lui faire mal » Cette phrase était débile puisqu’il lui a déjà fait mal. Je lui lançai une lueur sérieuse dans les yeux, voyant son nez qui coulais du sang, je pris le tissu qui me servait de petite serviette quand je faisais du sport et lui donna. « Tient, nettoie-toi avec cela »

Je regardai Vadim étaler part terre et qui respirai difficilement « Va cherchez un surveillant ou un professeur pour qu’il appelle l’infirmière » Dans toute école quand le gymnase est ouvert, un surveillant ou un professeur était là pour surveiller la salle et pour la fermé. Quand Aurélien fut partie, je m’agenouillai à coté de Vadim. « Mais qu’est-ce qui t’ait passé par la tête ? Tu aurais pu te faire massacrer surtout que tu étais épuisé quand on s’est rencontré » Il allait ouvrir la bouche « Non, tu n’as pas d’excuse, surtout que tu n’es pas mignon avec cette tête » Je m’approchai de sa joue et lui fit un petit bisou comme la dernière fois, je pouvais sentir le goût du sang sur mes lèvres. Soudain je fus tirer pas une main qui me faisait mal, et je me retournai pour apercevoir deux bille brun en feu.

Je suis:

HRP:

Je ne vis pas le coup partir, je me le pris plein dur le nez, mon corps vacilla en arrière un peu mais je me suis remis sur place. Je vis du sang qui sortaient de mon nez, ce petit enfoiré va me le payer. Je n’entendis pas ce qu’il dit ensuite tout ce que je voulais c’est qu’il paye pour ce qu’il a fait.  Je me pris par le ventre et lui dona un coup dans le dos. Son coup de genou me fit flancher, même si le mec était bien fatiguer du à son sport d’avant il savait bien se débrouiller mais personne allait battre un Riclote non personne et pas même un gamin." Crevard ! Tu obéis à ton papa comme un gentil petit toutou ? Ben c'est vraiment moche d'entendre ça. " Je lui souris croyait-il vraiment que ce jeune homme allait me dire ce que je devais faire « T’es pas mieux que moi, regard toi p’tit c*n, t’as vraiment l’air d’un pédé habillé comme ça, manche retrousser et T-Shirt en V, alors t’aime bien te faire prendre, fallait me demander » Je n’allais pas me laisser faire, surtout que d’abord je regard si la fille était bonne avant de voir si je peux avoir plus d’affinité avec elle.

Je pris un peu de vitesse pour m’écouler sur lui, je réussis à le mettre à terre moi sur lui.  Je lui donnai plusieurs coups dans la tête on pouvait voir que un coca allait apparaitre. Et Voilà un Riclote avait encore gagné, personne ne peux gagner fasse à nous, nous sommes les meilleurs. " Les enfo*rés dans ton genre, ne devrait pas... exister. " Il continu encore à parler malgré le fait que le lui écrase les poumons en appuyant sur les côtes. Je ne sais pas si je vais les casser mais cela serait bien pour lui. « Tu parles, mais les pédés comme toi devront aussi ne pas exister, t’aime que je sois au-dessus de toi » Avant que je ne puisse dire autre chose je ressue un coup en plein au niveau des côtes qui m’éloigna de lui, il m’a vraiment lancé loin. Je me relevai et voulu le battre quand je vis Juliette devant moi, pas changé elle était encore en mini-jupe. « Arrête, tu vas lui faire mal » Je la regardai comme si elle était un extraterrestre.

« Tu te fiches de moi, ce mec a commencé à me taper alors que je n’avais rien fait. Pourquoi tu ne t’es pas changé ? » Elle ne dit rien mais me donna une serviette pour m’essuyer le nez, j’espère qu’il n’était pas cassé, déjà que je vais avoir une sale tête demain. Surtout que là je l’ai devant Juliette. Je voyais qu’elle s’inquiétait pour moi, ces yeux me le disaient. « Va cherchez un surveillant ou un professeur pour qu’il appelle l’infirmière » Elle me regarda avec vigueur, donc je faisais ce qu’elle me disait et me dirigea vers le bureau du surveillant arriver là-bas je le vis qu’il regardait un match de Baseball « Monsieur, un garçon est par terre et n’arrive plus à ce levé, vous voulez bien appeler l’infirmière, s’il vous plat »

Le surveillant me regarda et pris tout de suite le combiné. Je sortis du bureau et je me dirigeai vers Juliette qui était en train de donner un bisou sur la joue à ce pédé. Je marchai plus vite et je pris le bras de Juliette en le serrant « Va chercher tes affaires et on y va » dis-je en colère, elle n'avait pas le droit de faire un bisou à l'autre c*n. Je la poussai vers les vestiaires en laissant le jeune homme couché, je laissai la porte ouverte pour que je voyais ce qu’elle faisait. Quand elle fut sortie je la repris par le bras pour qu’elle ne m’échappe pas. Je vis l’infirmière se pressé vers Vadim avec une sacoche puis je me dirigeai vers la porte du gymnase pour en sortir et me diriger vers ma chambre avec Juliette.

Je suis totalement dans le coltar. C'est dingue. Je n'arrive toujours pas à croire qu'on a réussi de me mettre au tapis. Cette enflure m'a en plus traité de tous les noms ! Il faut vraiment qu'il arrête ses conneries ! Je reviendrais... plus tard... lui donner une bonne leçon. " Mais qu’est-ce qui t’ait passé par la tête ? Tu aurais pu te faire massacrer surtout que tu étais épuisé quand on s’est rencontré. " C'est Juliette, je reconnais sa voix. C'est fou comme... c'est que la deuxième fois que je la croise mais le fait qu'elle s'énerve contre moi me fait sourire. Oui parfaitement, sourire. Je ne sais pas non plus ce qui m'est passé par la tête à ce moment-là. Peut-être parce que ce gros naze l'a insulté ? Et que je ne peux pas le supporter ? C'est vrai, elle est mignonne. On a pas de droit de parler d'elle comme ça ! Je fronce les sourcils, en essayant d'ouvrir la bouche, mais elle m'interrompt. Ces filles sont tellement bavardes... " Non, tu n’as pas d’excuse, surtout que tu n’es pas mignon avec cette tête. " Mon sourire grandit. Mais j'm'en fous royal d'être mignon moi ! Le pire c'est qu'elle a sûrement raison. Va falloir que je me lève pour voir l'étendue des dégâts : mais j'dois certainement ne pas être très beau à voir.

Alors que je tente de relever légèrement la tête, elle profite de ma faiblesse pour de nouveau, déposer un baiser sur ma joue. Ga. Paralysé une nouvelle fois. Tandis que je voulais lui lancer un regard noir pour montrer mon mécontentement, Aurélien est déjà de retour et la tire par le bras. Je n'ai pas le temps d'en voir plus, j'ai soudainement la tête qui tourne. Qui tourne. Et tourne encore. Je ferme les yeux. Tout devient noir.

Il me leva sans effort et me fis un mal de chien au niveau du bras. Il me poussa sans difficulté vers les vestiaires. « Lâche moi tu me fais mal » Quand il me lâchait, c’était pour voir ce que je faisais dans les vestiaires. Je mis ma veste en prenant tout mon temps. Je n’avais pas envie d’aller avec lui pour parler affaire ou je ne sais quoi, je voulais juste être avec Vadim pour savoir s’il allait bien. Quand je sortis des vestiaires, je regardais directement du coté de Vadim. Une infirmière était présente, elle allait prendre soin de lui. Je fus emmené par Aurélien loin de lui et je tentais de me débattre mais sa poigne me faisait trop mal. Donc je me laissais juste emmener.